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Robustesse

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Robustesse

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Comme la mixité, la robustesse s’intéresse à un devenir multiple du lieu par la mise en place d’un système capable de supporter une hétérogénéité. Cependant, cette dernière se précise dans une intention multiple à l’échelle de l’usage même, à savoir comment une flexibilité peut s’opérer à même un espace précis. La robustesse se transpose par la capacité d’un lieu à se moduler aux diverses intentions et d’accuser une transformation de ses logiques internes pour permettre une variété d’activités a même un espace prescrit. Il s’agit de l’adaptabilité du lieu.

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Le système viaire proposé permet aux infrastructures d’offrir divers espaces d’appropriation, de récréation et de production propices à un usage multiple de l’espace. Une place importante est dédiée à l’usager et les différents espaces se décomposent à sous-espaces permettant d’y pratiquer diverses activités. Les 2 parcs offrent quant à eux une multitude de possibilités d’usage par leur caractère indéterminé qui laisse place à une grande flexibilité. À l’échelle semi-publique, les diverses cours intérieures engendrées par le cadre bâti permettent la tenue d’activités en cœur d’îlot. Elles présentent une échelle intermédiaire, à mi-chemin entre les deux parcs et les espaces du système viaire. La variété d’échelles des différents espaces publics collectifs proposés reflète donc la robustesse du projet dans son ensemble.  

Critique

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À l’échelle du bâti, des intentions semblent tendre vers une possible robustesse du projet. Par la présence d’un éventail d’usages publics prévus donnant sur la rue, il peut être envisagé qu’une certaine flexibilité des usages et des espaces proposés sera présente. Cependant, la forme embryonnaire des corps bâtis illustrés exprime une certaine homogénéité des espaces construits, rendant difficile une lecture de la nature de ces espaces. 

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